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Tout sur le rosé
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Tout sur le rosé

Par Mathieu Tanguay
Photo: Shutterstock

Pour nombre d’entre nous, rosé rime avec été. En effet, on associe souvent ce vin rafraîchissant à l’apéro ou à un repas sur la terrasse. Pourtant, le rosé se laisse boire à longueur d’année.

Loin de n’être que de simples «vins de piscine», les rosés sont considérés comme de grands vins en raison de leur qualité ainsi que de la multiplicité des accords possibles avec une foule de mets. 

Qui plus est, ils sont offerts dans une belle variété provenant des quatre coins du globe, dont les principaux producteurs sont la France (qui est responsable à elle seule de 26% de la production mondiale), l’Italie, les États-Unis et l’Espagne.

S’invitant sans gêne à table, les rosés se dégustent en toute occasion l’année durant. N’étant pas taillés pour la garde, ils sont toutefois à leur meilleur consommés dans leur prime jeunesse. Au même titre que les vins blancs, ils se marient autant à la volaille qu’au poisson, aux pâtes et aux salades. Certains rosés de caractère peuvent même escorter un rôti de boeuf ou une escalope de veau. Pourquoi se priver d’une telle polyvalence?

Quel est votre type de rosé?
Les vins rosés inondent le marché depuis quelques années. Afin de choisir le nectar qui vous va, fiez-vous aux pastilles de goût. 

Fruités et légers: ces vins secs se caractérisent par des arômes fruités et subtils. On les boit jeunes, autant à l’apéro que pendant le repas.

Fruités et généreux: ces rosés gourmands et savoureux offrent des arômes plus généreux. On les reconnaît grâce à leur couleur intense.

Fruités et doux: ils se démarquent par leur teneur en sucre et leurs arômes concentrés de fruits mûrs. Parfaits pour ceux qui ont la dent sucrée.

Comment fait-on du vin rosé?
Disons-le tout net: le rosé n’est pas le fruit d’un savant mariage de vin rouge et de vin blanc. Il tient plutôt sa jolie robe pâle de méthodes de fabrication qui lui sont propres. La première technique consiste à presser les raisins rouges sans les laisser macérer afin d’extraire le moins de couleur possible. On obtient alors des rosés fruités et délicats, parfaits pour l’apéro. Le second procédé se résume à laisser les peaux macérer dans le jus de raisin avant la fermentation, afin d’obtenir une couleur, des tanins et des saveurs plus concentrés.



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